en 2017

11 juin: Charles de Foucauld, frère universel.

Francesco AGNELLO
Le musicien et metteur en scène Francesco Agnello nous invite à redécouvrir la figure spirituelle de Charles de Foucauld. Dans une mise en scène simple laissant l’essentiel à la parole et à la musique, il retrace les étapes de la vie de ce «frère universel». À travers les événements, les rencontres, la recherche de foi, Charles de Foucauld a posé dans sa vie des questionnements significatifs. Ils ont provoqué chez lui, physiquement et spirituellement, des déplacements qui l’ont mené en Syrie, en Terre sainte puis en Algérie. "Amoureux de l’humanité " c’est dans le Sahara qu’il passe les quinze dernières années de sa vie, simple présence aimante au
milieu des Touaregs. »

Fitzgerald BERTHON
"Je joue le rôle de Charles de Foucauld (et d’autres personnages qu’il a côtoyé) dans un seul en scène Charles de Foucauld, frère universel. Écrit, mis en scène et accompagné au hang (percussion) par Francesco Agnello, metteur en scène et musicien qui a notamment travaillé avec Peter Brook (Carmen, Warum warum), Pipo Delbono et Eugenio Barba."

LE HANG
Instrument de musique acoustique inventé par Félix Rohner et Sabina Schärer de Berne en Suisse en 2000, le hang a la forme d'une sphère métallique aplatie de 53 cm de diamètre et 24 cm d'épaisseur. Il comporte huit notes dont une fondamentale. Les notes peuvent également résonner par sympathie ce qui étend encore la gamme.L'envers du hang produit une note de udu (cruche). En dialecte bernois, « Hang » signifie main.

24 juin 2017: feu de saint-Jean

Cette soirée, devenue incontournable, réunit amis, paroissiens, touristes dans une ambiance musicale créée par les musiciens de nos communes. Jean-Paul mobilise sa famille pour que les braises soient prêtes dès 19h30. A 22h00 le feu est allumé , la fête commence.

16 septembre: une lutte à l'infini

Ce samedi soir à 20h30 dans la chapelle saint-Jean Dominique Touzé interroge la quête de Paul Claudel (1868-1955), Blaise Cendrars (1887-1961) et Léon Tolstoï (1828-1910). Ce dialogue mystique inattendu mais pertinent entre trois grandes figures de la littérature mondiale est ponctué par le violoncelle de Clémence Baillot-d’Estivaux. Avec pour partitions: la La la Sonate pour violoncelle seul opus 8(1915) du hongrois Zoltan Kodàly (1882_1967), partition extrêmement virtuose, longtemps considérée comme »injouable », inspirée de thèmes folkloriques hongrois et quelques mouvements d’une Suite pour violoncelle seul de J.S. Bach.
Ce spectacle a été créé en la cathédrale d’Albi pour le festival La Semaine Cathédrale 2017.